Christopher Wallwork
Christopher Wallwork est un ingénieur full-stack chevronné dont la carrière s’étend sur les secteurs de l’aérospatiale avancée, de la défense et des semi-conducteurs. Il a contribué à des projets de grande envergure, notamment la Station spatiale internationale, et a collaboré avec l’armée de l’air américaine sur des technologies de pointe à impulsion énergétique pour neutraliser les engins explosifs improvisés. Chris a également modernisé des lignes de fabrication de semi-conducteurs et a été un pionnier des outils de visualisation multidimensionnelle bien avant l’arrivée de la réalité virtuelle.
Convaincu très tôt par le potentiel de la blockchain, Chris a lu le livre blanc du Bitcoin en 2011 et a depuis investi dans les projets crypto les plus fondamentaux, notamment Bitcoin et Ethereum. Sa vision technique approfondie et son approche tournée vers l’avenir font de lui une figure respectée de l’écosystème crypto.
Chris a rencontré Charles-André Bergeron, fondateur d’EZO, en 2024, et a été inspiré par sa mission visant à favoriser l’inclusion financière en Afrique à travers une infrastructure technologique moderne. Impressionné par la vision d’EZO et sa feuille de route technologique, Chris est devenu l’un des tout premiers investisseurs de l’entreprise et agit aujourd’hui comme conseiller stratégique, apportant son expertise sur le développement produit, l’architecture technique et l’évolution à grande échelle.
- Ingénieur full-stack ayant contribué à la Station spatiale internationale et aux technologies anti-IED de l’US Air Force.
- Responsable de la modernisation d’une usine de fabrication de semi-conducteurs et pionnier des outils de visualisation avancée avant l’ère de la réalité virtuelle.
- Investisseur avant-gardiste dans Bitcoin, Ethereum et plusieurs projets crypto depuis 2011.
J’ai été très impressionné par son idée de créer une application destinée aux personnes non bancarisées en Afrique, avec l’objectif de bancariser les populations sous-bancarisées plutôt que de débancariser celles qui le sont déjà via la crypto. La plupart des Africains ont un téléphone portable mais aucun compte bancaire, car ils ne répondent pas aux critères exigés par les banques. Je comprends les enjeux économiques : il n’est pas rentable pour les banques de servir une population à faibles revenus avec des systèmes à coûts fixes élevés. »
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